Se mettre au volant d’une voiture permet de se libérer des contraintes liées à la condition humaine. Le conducteur devient un surhomme, car il est libre de se déplacer sur des distances extrêmement vastes en peu de temps. En revanche, cette liberté a un cout : le risque de mourir au volant. Aucun conducteur n’est en effet à l’abri d’un accident dû à un problème de mécanique, à une erreur de concentration ou à des facteurs extérieurs. Le nombre de mort chaque année ainsi que la multiplication des radars sur les autoroutes prouvent le fondement de ce risque mortel. Ainsi, comment réduire au maximum les chances de subir un accident mortel ?
Boire ou conduire, il faut choisir !
L’alcoolisme au volant se hisse au premier rang des causes d’accident mortel. Il soulève d’ailleurs de vifs débats chaque année. Or, la solution à ce problème est « douloureusement évidente » comme diraient nos amis américains. Il suffit de choisir entre le fait de boire de l’alcool et de conduire en rentrant. Concrètement, cette solution consiste à désigner un conducteur attitré qui devra s’abstenir de boire de l’alcool lors des soirées afin d’être en mesure de ramener tout le monde à la maison.
Bien entendu, un tel travail nécessite une volonté de fer. C’est pour cela qu’il serait peut-être intéressant de récompenser le conducteur. Grâce à un chèque-carburant par exemple ou un bon d’achat dans une grande boutique. Dans le pire des cas, pourquoi ne pas le récompenser avec de l’argent pour qu’il considère sa tâche comme un travail ?
Durcir les sanctions
En partant du principe que la loi est la principale garante de l’ordre et de l’obéissance, pourquoi ne pas intensifier les règles relatives à l’alcoolisme au volant ? Concrètement, cela se traduit par une intensification des sanctions. Soucieux de préserver ses sous ou sa liberté, le conducteur essayera d’être responsable pour le devenir sous l’effet du temps et de l’autoconditionnement.
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